Le meilleur de mes posts LinkedIn : 100% marketing et IA mais toujours avec un esprit critique
J'ai réuni ici le meilleur de mes posts LinkedIn. On y parle marketing et intelligence artificielle, mais toujours avec un esprit critique affûté. Vous trouverez des réflexions acérées, des analyses qui remettent en question les idées reçues, et des points de vue qui n'ont pas peur de sortir des sentiers battus. Que vous soyez passionné de tech, curieux des nouvelles tendances, ou simplement en quête d’une bonne dose d’inspiration (et de quelques piques bien senties), vous êtes au bon endroit.
Quand les IA deviennent folles...

Après avoir exploré la pollution numérique causée par les IA qui tournent en boucle sur leur propre contenu, penchons-nous sur un autre danger majeur : l’effondrement des IA.
🔸 Pourquoi les IA risquent-elles de s’effondrer ?
C’est simple : en se nourrissant de contenus générés par d’autres IA, elles tombent dans un cercle vicieux. Chaque génération se forme sur des données biaisées ou erronées. Résultat ? Les IA deviennent de moins en moins performantes. C’est ce qu’on appelle la consanguinité numérique. Un vrai problème de chat qui se mord la queue...
🔸 Effondrement : de quoi parle-t-on ?
Une étude publiée dans Nature montre que les IA formées sur des données générées par d'autres IA voient leurs performances s’effondrer progressivement. C’est comme un étudiant qui triche sur la copie d’un autre... qui a lui-même triché. Au final ? Personne n’a la bonne réponse ! Et cette fois-ci, l’équation "- x - = +" ne sauvera personne.
🔸 Des IA "folles" !
Aurions-nous l’idée de nourrir une vache avec ses congénères ? Quand même ! Mais c’est exactement ce qu’il se passe ici : les IA tournent en boucle, recyclant toujours plus d’erreurs.
🔸 L'intelligence humaine à la rescousse !
Heureusement, pour rester "intelligentes", les IA ont encore besoin de nous. L’intelligence humaine reste indispensable ! Si nous ne formons pas les IA sur des données fiables et humaines, elles continueront à dégrader la qualité des informations en ligne.
Le problème et la solution sont purement humains !
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Botshit : Quand les IA nous servent de la... sur un plateau.

Vous connaissez le bullshit, cette douce mélodie du baratin bien rodé ? Laissez-moi vous présenter son cousin numérique dégénéré : le botshit.
🤖 Botshit : n.m. Réponses automatiques générées par nos chers bots sous IAmphet (stéroïdes algorithmiques), aussi utiles qu’un téléphone sans réseau. C’est ce moment où l’IA vous jure, main sur son algo, qu’elle vous conseille LE livre de référence en marketing... de 2019, accompagné d’un blog en hibernation depuis 2022. (Clin d'œil attristé au post de la semaine dernière d’un ‘expert’ Lkn, plus prompt qu’expert en marketing)
📉 Le hic ? Le botshit s’infiltre dans nos conversations, minant notre crédibilité à la vitesse d’un mauvais tweet viral. Au lieu de convaincre, il fait lever les sourcils... et au lieu de fidéliser, il fait fuir. Le pire, c’est quand c’est subtil : on absorbe ces infos comme des vérités, et c’est là que les ennuis commencent.
🔧 La solution ? Mettez vos bots sous surveillance, adoptez la démarche centaure : utilisez-les, oui, mais avec ceinture et esprit critique. La confiance n’empêche pas le debug, surtout quand il en va de votre responsabilité et de l’image de votre marque. Et n’oubliez pas : vos clients, vos lecteurs sont encore des humains, non ? ... 🤔
🧠 D'où vient ce terme ? Dans ce western numérique où Maître GPT règne, un jargon émerge pour décrire notre réalité tech. Bientôt, nos dictionnaires devront être mis à jour en temps réel... par des bots eux-mêmes !
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Je t'𝐚𝐢me moi non plus ❤️ 💔

+60 % d’utilisateurs en 1 an pour les IA ! On est en plein "Whaouuu" : ça booste la productivité, ça titille la créativité... Bref, on adore ! Mais 79 % d'entre nous continuent d'avoir des sueurs froides rien qu'à l'évocation de son nom. Est-ce un air de "Je t'aime... moi non plus" version techno ?
𝐉𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 ...
71 % des Français connaissent les IA, et 74 % les voient comme la Révolution Industrielle 2.0. Les jeunes (18-24 ans) ont eu le coup de foudre : 70 % les utilisent ! Mais chez les +35 ans ? Seulement 22 % ont osé surfer sur "la vague irrésolue." Une révolution, oui, mais qui creuse un fossé générationnel. Entre ceux qui surfent sur la vague et ceux qui se retiennent.
𝐌𝐨𝐢 𝐧𝐨𝐧 𝐩𝐥𝐮𝐬 ...
Mais derrière chaque Whaouuu, il y a le Ouuuh. 67 % des Français considèrent l'IA comme une menace. Peur pour nos emplois, manipulation de l'info, sécurité des données... La shadow AI est là, tapie dans l'ombre : ceux qui utilisent l'IA en douce, jouant les agents doubles par opportunité. L'IA, c'est ce "couteau suisse" qu'on aime avoir sous la main, mais dont on redoute la lame.
𝐀𝐥𝐨𝐫𝐬, 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 ?
Chaque révolution a ses angoisses. On a eu peur des métiers à tisser, tremblé devant l’automatisation, et maintenant, on imagine des scénarios à la Black Mirror. Mais la clé pour apprivoiser cette techno ? L'éducation. 73 % des Français admettent manquer de connaissances sur ces outils. Former, former, et encore former. Car tant qu'on réduira l'IA à "un simple prompt", on restera coincés dans le "mode panique."
𝐄𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐢𝐧𝐪𝐮𝐢𝐞́𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐝'𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐞𝐮𝐫 ?
"La peur est le commencement de la sagesse," disait François Mauriac. Cette crainte est saine, si elle est réelle. Elle prouve que nous sommes conscients des risques. Mais il faut la transformer en moteur pour développer un esprit critique, construire des cadres éthiques, et garantir que l'IA reste notre alliée, pas notre maître.
𝐑𝐞́𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞𝐫, 𝐞𝐧𝐜𝐚𝐝𝐫𝐞𝐫, 𝐞́𝐝𝐮𝐪𝐮𝐞𝐫 : ce trio nous permettra de passer du Ouuuh au Whaouuu. Un équilibre entre fascination et raison, pour une utilisation consciente et bénéfique de ces technologies. Après tout, c'est à nous de décider.
Et vous, plutôt "je t'aime" ❤️ ou "moi non plus" 💔 ?
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𝐋𝐄 𝐇𝐀𝐂𝐊 𝐔𝐋𝐓𝐈𝐌𝐄 𝐏𝐎𝐔𝐑 𝐋'𝐔𝐋𝐓𝐈𝐌𝐄 𝐏𝐑𝐎𝐌𝐏𝐓 !
